POP UP

x
x

Pub

الجزائر يا العاصمة ، سومة قيمتك عظيمة ، حبك في قلبي ديما إلى يوم الدين فسدوك لي مالهم قيمة وكيلهم المتين

mardi 12 août 2014

Bientôt 10.000 DA pour obtenir le passeport algérien

La Loi de finances 2015 apportera bien des surprises. Si certaines dispositions sont "populaires", d'autres vont certainement décevoir. Le prix du passeport algérien passe ainsi de 2.000 da à 10.000 da.

Ainsi, selon des extraits publiés par le quotidien arabophone El-khabar, la Loi de finances 2015 va rétablir, en partie, le crédit à la consommation. Mais contrairement à ce qui se faisait, cette disposition sera réservée aux produits algériens dont une nomenclature va être établie dans les détails. En plus de cela, les montants des crédits seront certainement plafonnés à 700.000 DA.

Autre nouveauté pour cette Loi de Finances : l'abrogation, même partielle, de l'article 87-bis du code du Travail, qui porte sur la définition du salaire national minimum garanti, SNMG. Alors que le gouvernement avait promis des augmentations des salaires, la mouture de la loi de Finance 2015 aborde une redéfinition de l'article sans son abrogation. Autrement dit, le SNMG ne sera plus nécessairement le salaire de base. Le nombre de primes qui entrent dans son calcul vont diminuer. Mais elles ne vont pas disparaître. Ce qui va certainement soulever l'ire des syndicats et des travailleurs.

Le passeport algérien passe à 10.000 da

Autre nouveauté qui ne manquera pas de faire bouillonner le front social : l'augmentation, vertigineuse, de la taxe perçue sur l'établissement des passeports. Les Algériens vont devoir débourser 10.000 Da pour leur document de voyage au lieu de 2.000 DA actuellement. Par contre, les Algériens ne paieront aucun timbre pour se faire délivrer une carte nationale d’identité. Actuellement, ce document coûte 100 DA.

Enfin, une dernière nouvelle taxe connue concerne directement les fumeurs. Les paquets de cigarettes coûteront désormais 10 da plus cher qu'aujourd'hui.

mercredi 25 juin 2014

Arbitrage international : un groupe canadien réclame 120 millions d’euros à Air Algérie

Le groupe canadien SM, qui a lancé une procédure d’arbitrage international contre Air Algérie, réclame 120 millions d’euros à la compagnie aérienne nationale. Selon nos informations, la première séance de cet arbitrage commence demain jeudi 26 juin devant la Chambre de commerce international (CCI) à Paris. La procédure peut durer plusieurs mois.
Le groupe canadien de BTP avait introduit une requête devant la CCI en avril 2013 après la résiliation par Air Algérie du contrat de réalisation de son siège social à Bab Ezzouar à Alger. Ce contrat d’un montant de 83 millions d’euros avait été confié à SM en 2011. Le groupe canadien de construction reproche à Air Algérie de n’avoir pas respecté le contrat.
Le projet, dessiné par le bureau d’études libanais Khatib & Allami, avait été attribué par l’ancien P-DG d’Air Algérie Wahid Bouabdallah, limogé en juin 2011, avant d’être résilié par son successeur Mohamed Boultif. Le conflit a éclaté lorsqu’Air Algérie a commencé à refuser de payer les travaux supplémentaires effectués par le groupe canadien. « Des modifications techniques ont été apportées lors de la réalisation en raison de l’insuffisance de l’étude faite par le bureau d’études libanais. Le plan du siège social d’Air Algérie ressemble étrangement à un hôtel, avec des cuisines immenses », confie une source proche du dossier.
Visiblement mal conseillée, Air Algérie n’a pas su gérer le projet et risque de payer une note salée aux Canadiens. « Au lieu de confier le suivi de la réalisation du projet à un bureau d’études spécialisé, la direction d’Air Algérie a préféré le faire elle-même alors que son métier de base est le transport aérien », déplore une source algérienne.
Après avoir résilié le contrat avec les Canadiens, la compagnie aérienne nationale n’a toujours pas réussi à trouver un repreneur pour relancer le projet.

mardi 24 juin 2014

LE PDG D’AIR ALGÉRIE INSULTE LA COMMUNAUTÉ ALGÉRIENNE RÉSIDANT À L’ÉTRANGER

« Le Président Directeur Général d’Air Algérie, Mohamed Salah Boultif a tenu des propos choquants, outranciers et insultants à l’égard de la communauté algérienne installée à l’étranger et particulièrement celle résidant en France. Le PDG de la compagnie aérienne a traité les Algériens de l’étranger de « zygotos », leur demandant « d’assumer leur choix de vivre à l’étranger » et qu’ »Air Algérie n’est pas la compagnie de émigrés » selon des sources du ministère des transports indignées à juste titre par ces propos méprisants de ce responsable.

Ces insultes ont été proférées publiquement le 21 juin par Boultif, lors de son discours d’ouverture de la conférence annuelle des représentants d’Air Algérie qui s’est tenue les 21 et 22 juin à l’hôtel militaire de Béni Messous.
A cours d’arguments, sortant de sa besace une accusation éculée datant des années 70, où on voyait la main de l’étranger partout même dans nos assiettes, le PDG a accusé la communauté algérienne d’être à la solde de l’impérialisme, heu ! pardon, « d’être manipulé par la partie française en vue de faire pression sur  l’Algérie afin qu’elle adopte l’Open sky et qu’elle ouvre son ciel sans restrictions ». (Source Algérie1)

PS/Vidéo d’illustration

jeudi 19 juin 2014

La Fête de la musique pour la première fois à Alger, en partenariat avec l’Institut français

Raï, Rock, Gnawi, Alger sera en fête pour danser et chanter, ce vendredi 20 juin. Comme dans de nombreux endroits du monde, la fête de la musique, cette invention française va se dérouler à Alger.
Place Audin, place de la Grande Poste et Square Sofia à partir de 20h ce vendredi, ainsi qu’a été annoncé, ce mercredi 18 juin, par Abdelhakim Bettache, président de l’APC d’Alger-centre et l’ambassadeur de France en Algérie, André Parant.
« Je salue l’initiative des autorités de la wilaya d’Alger et de l’APC d’organiser la fête de la musique pour la première fois », a indiqué M. Parant. « J’espère que l’exemple de la mairie d’Alger-centre sera suivi », a-t-il ajouté. L’APC organisera cet événement en partenariat avec l’Institut français d’Alger, selon lui. Différents groupes, artistes algériens et français seront présents parmi lesquels Diwane El Bahdja (Gnawi) et groupe Rafda et Féfé.
Interrogé sur son prochain départ, la désignation d’un nouvel ambassadeur, et le bilan de son passage en Algérie, André Parant a indiqué ne faire aucun commentaire, ni tirer aucun bilan. «Le moment des bilans n’est pas encore arrivé », a-t-il assuré.

mercredi 28 mai 2014

Comment faire des Algériens de l’étranger un instrument du développement économique ?

Par Kamel Haddar, CEO Origin Partners, Co-Fondateur de l’Association ATLAS et Hadi Mahihenni, ingénieur des Mines de Paris et Co-fondateur d’ATLAS
Faire des Algériens de l’étranger l’instrument du développement économique et de l’influence de l’Algérie dans le monde. L’Algérie a tout à gagner à s’impliquer davantage dans la valorisation des talents de la communauté algérienne à l’étranger. 
La communauté algérienne installée à l’étranger représente une richesse considérable pour l’Algérie. Mais cette richesse est trop souvent gâchée, faute d’une réelle volonté des pays d’accueil d’intégrer leurs ressortissants algériens ou d’origine algérienne. Certains d’entre eux se trouvent alors relégués en marge de la société, parfois livrés à la délinquance, voire au fondamentalisme religieux dans le pire des cas. 
L’Algérie ne peut se désintéresser de leur situation. Elle a, d’abord, un impératif moral à s’impliquer dans la valorisation de sa communauté à l’étranger. Même s’ils habitent dans un autre pays, les ressortissants algériens, leurs enfants et l’ensemble de leurs descendants n’en demeurent pas moins partie intégrante de la communauté algérienne. L’Algérie a, en outre, un intérêt direct dans la valorisation des talents algériens qui vivent à l’étranger, dans la mesure où certains d’entre eux auront un jour vocation à exercer des responsabilités de premier plan dans leur pays, aussi bien dans la sphère économique, politique, culturelle ou sportive. Ils sont tous à leur niveau des émissaires de l’Algérie et peuvent œuvrer de manière diffuse et concrète au développement de son influence.
La Chine, Singapour, le Brésil, la Corée du Sud, le Maroc ont une véritable politique concrète et efficace de reconnaissance et de valorisation de leur communauté à l’étranger. Cela se traduit par des résultats très positifs sur le plan social, économique et politique.
Propositions
 1.    Création d’un « fond des banlieues »
Ce fond aura vocation à distribuer des bourses aux jeunes talents de la d’origine algérienne afin de promouvoir les futurs leaders qui seront demain les acteurs de l’influence de l’Algérie dans le monde
2.    Création d’une banque pour les Algériens de l’étranger
Sa mission principale sera de faciliter les transferts financiers entre la communauté algérienne à l’étranger et l’Algérie afin de favoriser le financement dont l’économie algérienne a besoin pour se développer
3.    Créer un réseau de centres culturels algériens
Ces centres auront vocation à enseigner l’arabe et à organiser des événements culturels dans les pays où la communauté algérienne  est la plus nombreuse pour assurer le rayonnement de la culture algérienne et offrir un cadre aux algériens à l’étranger pour échanger et renforcer leur sentiment d’appartenance à leur communauté. Et proposer des voyages de découverte de leur pays d’origine : l’Algérie.
Encourager les échanges entre l’Algérie et sa ses enfants de l’étranger permettra un enrichissement mutuel au service de tous les algériens
L’attachement de la communauté algérienne au pays de ses ancêtres est mis à rude épreuve par de nombreuses barrières économiques et administratives qui sont un obstacle aux échanges et coupent l’Algérie d’une partie de ses enfants. Ainsi, le prix des transports aériens aussi bien que maritimes vers l’Algérie empêchent de nombreuses personnes de se rendre en Algérie aussi souvent qu’ils le souhaiteraient.
Propositions
 4.    Création d’une filière de transports aériens « low cost »
La réduction des charges et frais d’aéroport auxquels sont soumises les compagnies disposant de lignes aériennes avec l’Algérie et l’encouragement au développement de la concurrence permettront de faire sensiblement baisser les prix
5.    Supprimer le système d’équivalence des diplômes étrangers  détenus par les Algériens de l’étranger
De nombreux algériens diplômés d’universités étrangères voient leurs diplômes non reconnus par le système algérien et/ou la démarche est lourde et n’incite pas au retour des talents.
6.    Remonter des capitaux à hauteur de 70% de leur revenu pour payer leur charge à l’étranger
En effet, seul les expatriés qui ne sont pas d’origine algérienne peuvent rapatrier leur revenu (à hauteur de 90%) dans un pays tiers. Or les algériens de l’étranger souhaitant s’installer durablement en Algérie pour contribuer au développement de leur pays n’y ont pas le droit. Ceci est un point bloquant car ils ne peuvent pas payer leur charge à l’étranger (impôt, prêt, loyer, investissement, etc.)
7.    Rétablissement des bourses d’excellence pour permettre aux algériens de poursuivre leurs études à l’étranger
Les algériens ont le talent pour intégrer les écoles et universités les plus prestigieuses du monde mais en sont souvent empêchés pour des raisons financières ; le rétablissement des bourses et leur amplification devra mettre un terme à cette situation critique.
Encourager l’établissement sur son territoire de ses talents vivant à l’étranger permettra à l’Algérie d’être plus forte et plus innovante
De nombreux talents de la communauté algérienne éprouvent aujourd’hui le désir de s’installer en Algérie, mais en sont dissuadés en raison des nombreuses contraintes qui pèsent sur un tel projet. L’Algérie doit faire en sorte que cette démarche soit autant dénuée d’obstacles que possible car elle a beaucoup à y gagner : les talents de la communauté algérienne sont avides d’entreprendre et contribueront de manière significative à la dynamisation de la société et de l’économie. Leur établissement permettra de construire une classe dirigeante fondée sur la compétence et le mérite, au service des algériens.
Propositions
 8.    Créer une agence pour la promotion au retour au pays d’origine
Un travail de pédagogie doit être entrepris pour informer les membres de la communauté algérienne établis en dehors de l’Algérie sur les possibilités offertes en terme d’emploi et d’investissement. Accompagner étape par étape ceux qui souhaitent s’installer durablement ou ponctuellement en Algérie.
9.    Faciliter les démarches d’entrepreneuriat et la création d’incubateurs et d’accélérateurs privés pour les algériens de l’étranger
Les entrepreneurs doivent pouvoir se concentrer sur la création de valeur et de solutions originales au service de la société et de l’économie. A cette fin, il convient de réaliser un choc de simplification de l’environnement administratif des agents économiques. La création d’incubateurs et d’accélérateurs privés de startups associés à des incitations fiscales permettra en particulier de faire de l’Algérie un exemple pour toute la région en matière d’entrepreneuriat.
10. Proposer la direction d’entreprises publiques à des personnalités qui ont une expérience éprouvée dans la gestion d’entreprise à l’étranger
Il est temps de constater que certaines entreprises publiques pourraient être plus performantes. Or beaucoup de nos compatriotes ont déjà prouvés leur capacité à bien gérer des projets industriels et de services. Leur expertise est nécessaire pour le pays, il est pertinent que l’état leur tendent la main en passant par des associations qui concentrent des viviers de talents d’origine Algérienne du monde comment l’association ATLAS (Algerian Talents and Leaders Association) ou encore AAAGB (Algerian-American Association of Greater Washington).
****
Remarque : nous avons volontairement utilisé le terme « Algériens de l’étranger » et/ou « Personne d’origine Algérienne » dans le sens où le terme « Diaspora » ne convient pas dans le cadre de notre réflexion et nos propositions. Les enfants de parents issus de la diaspora (individus nés en Algérie) sont également concernés.

jeudi 1 mai 2014

La 4G d’Algérie Télécom : saut technologique ou effet d’annonce ?

Saut technologique pour l’Algérie et mise à niveau des standards internationaux des réseaux les plus pointus ou bien énième effet d’une annonce sans autre effet sur la navigation Internet ? L’annonce, faite mardi 29 avril par Algérie Télécom, de la prochaine mise en service de la 4G LTE est en tous cas une nouvelle importante pour le développement du pays.
Selon le site algérien spécialisé Nticweb, Algérie Télécom s’apprête à lancer deux offres de forfait à hauteur d’un téléchargement maximum de 5 et 10 gigaoctets, vendues respectivement à 3 500 et 5 000 DA/mois. Il s’agit là d’un volume largement suffisant pour pouvoir regarder des chaines de télévision en direct (en streaming).
Par ailleurs, le P-DG d’Algérie Télécom, Azouaou Mehmel, cité par Nticweb, a réitéré son engagement et celui de sa société à « moderniser et développer un réseau national de très haut débit dense, performant et de haute qualité ». Il a ainsi assuré que « la mise en œuvre de la première phase de déploiement de la 4G LTE permettra à notre personnel de maîtriser les processus d’ingénierie et de déploiement de cette nouvelle technologie. Elle constituera une base importante pour la préparation des phases suivantes, l’objectif étant de répondre à la demande croissante en matière de haut et très haut débit et de consolider le positionnement d’Algérie Télécom en tant que leader technologique ».
Il faudra un certain laps de temps pour que la mise en place de cette offre soit pleinement opérationnelle sur tout le territoire algérien. Ainsi, la mise en place de la 4G LTE nécessite l’allocation de nouvelles bandes de fréquences. Ces bandes sont plus larges et la modulation est encore optimisée, expliquent les experts du Journal du Geek. Mais les enjeux et les bénéfices de la 4G LTE dépassent la simple augmentation de la bande passante et du débit. Il faudra alors attendre pour pouvoir juger de ce qui pourrait être un vrai saut technologique.

vendredi 25 avril 2014

Finale de la Coupe d’Algérie : Les supporters de la JSK punis après la marche du 20 avril ?

A moins d’une semaine de la finale de la Coupe d’Algérie, les supporters de la JS Kabylie sont en colère. Ils accusent le wali de Tizi Ouzou de distribuer les tickets pour assister à ce match en fonction de l’orientation politique des fans de foot.
La finale de la Coupe d’Algérie de football, prévu le 1er mai prochain, au stade de Blida, va mettre aux prises le MC Alger à la JS Kabylie. Un match qui se jouera certainement à guichet fermé, d’autant plus que cette enceinte sportive à une capacité assez limitée.
Chacun des clubs finalistes s’est vu octroyer 12.000 tickets, qu’il revendra à ses supporters. Mais la JS Kabylie a été soumise à un régime différent. Le Wali de Tizi Ouzou a pris mardi la décision de racheter tous les tickets afin de les offrir gratuitement aux supporters. Une nouvelle qui a réjouit, dans un premier temps, les fans du club. Mais, par la suite, la mainmise du wali de Tizi Ouzou sur les tickets pour la finale de la Coupe d’Algérie a suscité beaucoup de craintes chez beaucoup d’entre eux.
Un tri des supporters ?
En effet, selon certains supporters de la JSK, les autorités locales ont procédé de la sorte pour “trier” les spectateurs, qui seront présents le 1er mai dans les tribunes du stade de Blida. Dans cette perspective, les plus “ultras” mais aussi ceux qui sont politisés ont peu de chance d’assister à la rencontre.
Précisons que la vente se fera sur listes proposées par les comités de supporters officiels ou par des inscriptions au niveau des maisons de jeune. Mais, après la violente répression de la marche 20 avril dernier, à Tizi Ouzou, pour commémorer le 34è anniversaire du Printemps berbère, les autorités craignent que des supporters de la JSK profitent de la finale de la Coupe d’Algérie pour manifester leur opposition au 4è mandat et exprimer leurs revendications culturelles. D’après certains supporters du club de foot Kabyle, le wali de Tizi Ouzou, mis en cause par les manifestants dans la répression de la marche du 20 avril, ne veut emmener à Blida que des partisans du Président Bouteflika, réélu pour une 4è fois.
Loin d’être résignés, les fans de la JSK continuent de mettre la pression sur la direction du club afin que les tickets soient mis en vente au niveau du stade, comme ce qui se fait habituellement. De son côté, le MCA a annoncé qu’il allait liquider son quota de tickets normalement, en les vendant au guichet de son stade

Source: Algérie Focus
-

mardi 22 avril 2014

Qui veut enflammer la Kabylie ?

Qui a enflammé Ghardaia ??
Qui est responsable de l'insécurité à Ali Mendjli ?
Pour Louiza Hanoune :
Ce sont des algériens recruté par le FBI et la CIA et financés par le Qatar !
Pour Gaid Salah 
Ce sont les "ennemis" de l'Algérie (main de l'étranger ???!!!) mais il n'arrive pas à les identifier !
De toute façon , ce n'est pas les US ou le Qatar dont les responsables viennent de rendre visite à Fakhamatouhou pour le féliciter avant même la tenue du scrutin !
Pour les islamistes
C'est Toufik (toujours lui ) et le DRS dont personne ne connait où se trouve le siège social !!
Pour d'autres
Ce sont le MAK ,le RCD et / ou Barakat ( alors que ce sont les militants de ces mouvements qui se font tabasser et lyncher ) !

Il est difficile à ce point de reconnaitre que le seul responsable et le seul coupable c'est le RÉGIME ?!

Si tu es d'accord Partage !!


vendredi 18 avril 2014

L’État algérien rachète 51% de Djezzy, Cevital sort du capital

Après plusieurs années de négociations difficiles, l’État algérien, via le Fonds national d’investissement (FNI) s’empare de la majorité de l’opérateur Djezzy. Global Telecom Holding (GTH) et VimpelCom les sociétés mères de Djezzy annoncent, ce vendredi 18 avril, la signature de la vente de 51% du capital d’Orascom Telecom Algérie (OTA) au FNI pour un prix de 2,643 milliards de dollars. Cette transaction valorise Djezzy à 5,22 milliards de dollars.
En conséquence, VimpelCom retire sa demande d’arbitrage contre l’État algérien déposée en avril 2012. La conclusion définitive de la transaction est attendue à la fin de l’année en cours.
Mais Vimpelcom et GTH pourront récupérer ses dividendes bloqués depuis 2009. Ainsi, Djezzy distribuera immédiatement un dividende de 1,862 milliard de dollars. Au total, Vimpelcom et GTH empocheront 4 milliards de dollars net d’impôt, après avoir payé les différentes amendes dues. Les restrictions à l’exportation des bénéfices à l’étranger seront levées après paiement d’une amende payée au Trésor public à hauteur de 1,3 milliard de dollars.
Cevital qui détient 3% de Djezzy va céder ses parts à Vimpelcom pour 178 millions de dollars. Il empochera également un dividende de 56 millions de dollars.
OTA continuera d’avoir le contrôle opérationnel sur la société Djezzy. « Le partenariat avec le Fonds national d’investissement permettra à OTA d’avoir un actionnariat fort et stable », écrit VimpelCom dans un communiqué. Jo Lunder, le P-DG de VimpelCom, commente cette annonce : « Cette transaction de 4 milliards de dollars permet de résoudre nos différents en Algérie et permettra un investissement futur dans les réseaux 3G ».

dimanche 13 avril 2014

Sahara occidental : pour la première fois, l’ONU évoque la question des ressources naturelles

Dans son dernier rapport adressé, le 10 avril,  aux 15 membres du Conseil de sécurité, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, met en exergue la question des droits de l’Homme et, pour la première fois, les ressources naturelles des territoires occupés du Sahara occidental.

Dans ce rapport, Ban Ki-moon a renouvelé, jeudi dernier, ses appels pour une surveillance durable des droits de l’Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental : « Le but final reste néanmoins une surveillance soutenue, indépendante et impartiale des droits de l’Homme », insiste le Secrétaire général.
Il a également mis en garde contre l’exploitation abusive des ressources naturelles au Sahara occidental. Compte tenu de l’intérêt accru à l’égard des ressources naturelles du Sahara, il est opportun de faire appel à tous les acteurs concernés, estime-t-il, en vue de « reconnaître le principe que les intérêts des habitants de ces territoires sont primordiaux (en accord avec la Charte des Nations unies, chapitre XI, art. 73) ».
Ban Ki-moon poursuit : « Comme indiqué dans ce rapport, mon envoyé personnel a encore entrepris une autre approche dans le processus de négociation, basé sur les consultations bilatérales et sur les navettes diplomatiques », écrit le secrétaire général de l’ONU.

« Le briefing d’octobre (prochain) au Conseil (de sécurité) sera l’occasion de transmettre une première évaluation en vue de déterminer si oui ou non cette nouvelle approche se révélera fructueuse », peut-on lire dans ce rapport.
En février dernier, le représentant du Front Polisario à l’ONU, Ahmed Boukhari, avait adressé une lettre au Secrétaire général où il rappelait l’urgence d’agir pour mettre un terme à l’exploitation « illégale » des ressources naturelles du peuple sahraoui par les autorités marocaines. Ahmed Boukhari a regretté, dans un échange avec l’agence Reuters, que le rapport n’aille pas plus loin sur la question des droits de l’Homme en raison de l’opposition du Maroc et de la France.

Source : TSA

jeudi 10 avril 2014

Mouvement Barakat : rassemblements dans cinq villes le 12 avril

Le mouvement « Barakat » a appelé, ce mercredi 9 avril dans un communiqué, les citoyens à se joindre à cinq rassemblements pacifiques qui seront organisés le samedi 12 avril 2014 à Tébessa, Batna, Constantine, Tizi Ouzou et Bouira. Les cinq rassemblements sont prévus à 11h00 au niveau de la place de la Liberté à Batna, à  la place de la Brèche à Constantine, devant le cinéma Maghreb à Tébessa, à la place Matoub Lounes à Tizi Ouzou et place de l’ancienne ville à Bouira, précise la même source.
Ces actions visent à « exiger le changement pacifique du système pour laisser la place à une période de transition pour instaurer un État de droit et une démocratie », ajoute Barakat.
Le mouvement anti-quatrième mandat insiste sur le caractère pacifique de ces actions tout en réfutant « les attaques » dont il a fait l’objet suite aux violences qui ont empêché Sellal de tenir un meeting électoral, samedi dernier à Bejaïa.
La direction de campagne de Bouteflika a accusé Barakat, le MAK et les partisans du boycott d’avoir été derrière ces incidents. « Le pouvoir continue de recourir à des tentatives brutales pour réprimer toutes les voix de contestation, c’est ainsi que le mouvement citoyen pacifique Barakat s’est vu attaqué et matraqué par le régime et ses relais qui usent de viles manœuvres afin de tenter de décrédibiliser l’élan populaire que le cri de Barakat suscite, lui imputant des actes de violence qui sont en contradiction totale avec la ligne du mouvement, qui est pacifique », conclut le communiqué.

mercredi 9 avril 2014

Logements AADL : les ordres de versement dés la première semaine du mois de mai

Paiement prochain de la première tranche AADL, accélération du projet LPP et distribution de logements sociaux : le gouvernement multiplie les sorties en vue de gagner un maximum de voix lors de l’élection présidentielle d’avril prochain.
Le Directeur général de l’AADL, Lyès Benidir a indiqué que les souscripteurs du nouveau programme AADL 2 dont les dossiers ont été acceptés vont recevoir, dès la première semaine du mois de mai, les ordres de versement pour payer la première tranche significative de la réservation de leurs logements. Les milliers de souscripteurs, dont le nombre n’est même pas précisé tant il est très important, vont donc devoir “rêver” une fois de plus de posséder un appartement.
Le montant de la première tranche est fixé à 10% du coût global du logement, estimé à 2,1 millions de dinars pour un F3 et de 2,7 millions de dinars pour un F4. Si l’opération de souscription a rassemblé des milliers de citoyens, le rythme des constructions, lui, n’a pas évolué. Le nombre des nouveaux souscripteurs inscrits via Internet et dont les demandes ont été acceptées s’élève à 700.000. L’AADL a reçu en mars dernier, 455.350 dossiers par voie postale dont 173.150 souscripteurs à Alger. Cela se passe à un moment où les souscripteurs de 2001 et 2002 n’ont toujours pas pris possession de leurs appartements. Pis, même ceux qui ont payé leur première tranche en 2002 n’ont toujours pas habité leur maison. Cette catégorie de citoyens est relevée essentiellement à Alger.

Source: Algérie Focus

mardi 8 avril 2014

L’Algérie aura bientôt son TGV !

L’Algérie aura bientôt son train à grande vitesse (TGV). Les autorités en charge du secteur du transport ferroviaire ont entamé les études pour la réalisation d’un train à grande vitesse qui relie l’Algérie d’Est en Ouest.
 ”Ces études vont déterminer le passage du TGV, soit à côté de la ligne ferroviaire actuelle ou bien en parallèle mais un peu loin”, a indiqué à l’APS Azeddine Fridi, Directeur général de l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires l’ANESRIF. Dans le domaine du chemin de fer, quelque 700 km sont actuellement en cours de réalisation, pour finaliser l’ensemble de ce projet conçu pour désenclaver les villes des hauts plateaux et favoriser une meilleure exploitation économique de la région, a précisé M. Fridi, selon toujours la même source. “Nous avons très bien avancé dans les travaux de réalisation des tronçons restant, allant de M’sila vers Sidi Bel Abbas via Tissemsilet, Tiaret et Saida. Et nous sommes même en train de poser les voies sur certains tronçons”, a-t-il encore affirmé.
D’autres projets ferroviaires sont également programmés dans le sud du pays sur une distance de près de 3.400 km afin de désenclaver des villes limitrophes aux champs pétroliers et gaziers, trop longtemps dépendantes de la route. Il s’agit principalement des lignes “Ouargla-Ghardaia- Aghouat-Hassi Messoud” (425 km), “Ghardaia-Mniaa-Adrar-Sidi Bel Abbas-Bechar”, “Mniaa-Ain Saleh” et “Bechar-Tindouf-Ghar jbilet”, actuellement en étude, outre la ligne “Aghouat-Djelfa” en cours de réalisation. A moyen terme, le secteur des transports vise ainsi à atteindre à
moyen terme 12.500 km de lignes de chemin de fer contre près de 4.500 km actuellement, dont 6.000 km sont en cours de réalisation, selon la
même source. L’Etat a mobilisé près de 18 milliards de dollars pour le développement des chemins de fer dans le pays.
Essaïd Wakli

Source : Algérie Focus


lundi 7 avril 2014

Le festival d’humour Algé’rire revient bientôt à Alger

Le festival Algé’rire revient à Alger pour ce qui est désormais devenu un rendez-vous annuel des humoristes du Maghreb. La 2è édition aura lieu du 30 avril au 3 mai prochain dans la capitale.
La deuxième édition du festival humoristique Algé’rire, organisé encore une fois par l’agence “Broshing Events”, arrive bientôt à Alger. Le public algérois pourra rire de nouveau aux blagues d’artistes algériens et étrangers, tous réunis pour l’occasion, du 30 avril au 3 mai prochain. Durant ces 4 soirées, seront présents des personnalités d’origine algérienne comme Nawel Madani, l’étoile montante belge issue du Jamel Comedy Club, Wahid, également découvert par le Jamel Comedy Club, Kev Adams, le tout jeune humoriste (22 ans seulement!) qui s’est fait découvrir à travers On n’demande qu’à en rire, l’émission de télévision française de Laurent Ruquier, Kamel Abdat, ou encore Ramzy. Ce dernier revient pour la deuxième année consécutive amuser le public algérien. Des artistes franco-marocains se joindront également à eux comme Kamel le magicien et Booder. Pleins d’autres surprises seront également au programme, comme la présence du comédien Denis Marechal.
La première édition de ce festival humoristique algérien, organisée l’an dernier à l’hôtel Hilton de Alger, avait déjà remporté un franc succès. Parrainée par Smaïn, cette première édition avait réuni des humoristes comme Ramzy, Nawell Madani ou encore Wahid. Et comme on ne change pas une équipe qui gagne, ces derniers feront de nouveau partie du show cette année.
Les prix du billet n’ont pas encore été communiqué. Rappelons que l’année dernière, le public avait déboursé pour une soirée 1.500 DA par personne.

Source: Algérie Focus

dimanche 6 avril 2014

[Arret sur Image]

Toute acte de violence d'où qu'il vient est intolérable, condamnable et inacceptable, mais, le pouvoir avec ce quatrième mandat ridicule pousse les extrémistes de tout bord à sortir de leur tanière. En cas de dérapage, la responsabilité du clan de Bouteflika est entièrement engagée.

RESPONSABLE CHANTIER (Technicien électrotechnique)

Entreprise :
REELEC

Secteur :
Industries

Localisation :
Algérie, Alger.

Fonction :
Production - Sécurité

 


 IMPORTANTE SOCIÉTÉ NATIONAL CERTIFIE ISO recrute :
Un responsable chantier
Profil :
- Diplôme de technicien supérieur en électrotechnique.
- Expérience souhaitée de 03 ans minimum dans le domaine de la gestion du chantier.
- Résident à Alger
Veuillez envoyer vos CV à l'adresse mail suivante :
res.chantier@emploinet.net
Postes ouverts :

1

Vidéo. Béjaia : des jeunes algériens empêchent Abdelmalek Sellal de tenir un meeting

L’équipe de campagne d’Abdelaziz Bouteflika a du mal à faire entendre sa voix lors de cette campagne électorale. Désormais habitués à être interpellé et même chahuté par les électeurs, voilà que les animateurs sont empêchés de tenir des meetings. 
Abdelmalek Sellal s’est encore confronté à l’ire des opposants au 4e mandat. Le directeur de campagne d’Abdelaziz Bouteflika qui devait donner un meeting ce matin dans la ville de Béjaia en Kabylie a dû annuler son meeting. En effet il a été accueilli par de nombreux jeunes de la région opposés à la candidature du Président sortant. Des dizaines de personnes se sont postés devant la maison de la culture de Béjaia pour manifester pacifiquement, scandant “oulach smah oulach”,  ”non à la mascarade” ou encore “non au 4eme mandat”. Les manifestants ont également brandi des affiches et caricatures où l’on pouvait lire entre autres ”les discours de Sellal sont un poisson d’avril”.
Toutefois le rassemblement est resté assez calme, les protestataires ont seulement été mis de côté pour ne pas bloquer l’entrée de la salle. Mais la colère grondait encore ce matin à 11h. ”On m’a indiqué qu’aucun habitant de Béjaia n’est rentré dans la salle, et qu’ils ont ramené de personnes extérieures pour remplir la salle”, nous a expliqué un correspondant sur place. Un rassemblement pacifique qui a tout de même poussé les pro-Bouteflika à se replier un moment. Hésitant pendant quelques heures entre le maintien et l’annulation, ces derniers ont d’abord finalement opter pour l’abandon.  Abdelmalek Sellal n’est même pas entré dans la salle de meeting
Des vidéos de ce rassemblement circulent depuis ce matin sur le web. Comme ces quelques images postées par la page DZ wikileaks sur Facebook qui compte plus de 100 000 fans.
- See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2014/04/video-bejaia-des-jeunes-algeriens-tentent-dempecher-un-meeting-dabdelmalek-sellal/#sthash.jwDxTkLu.dpuf

Source: Focus Algérie

samedi 5 avril 2014

Infographie. L’Algérie toujours plus riche… mais pas les Algériens


Ces dernières années, l’augmentation des ressources en Algérie est frappante. Cependant, malgré les richesses abondantes du pays, la population algérienne ne semble pas en bénéficier. En effet, si les ressources ont été multipliées et représentent des sommes à en faire pâlir plus d’un, la situation sociale est loin d’avoir augmenté proportionnellement.
L’Algérie, un pays de plus en plus riche
Fait impressionnant : de 1999 à 2012, l’Algérie a perçu davantage de ressources en 13 ans que pendant les 36 années précédentes. En effet, selon la Banque Mondiale, alors que l’exportation d’hydrocarbures a rapporté 649 Milliards en dollars constants (en prenant 2012 comme année de référence), elle a rapporté, entre 1999 et 2012, 751 Milliards de dollars, soit 102 Milliards supplémentaires sur une période presque 3 fois moindre.  Ainsi, l’Algérie a multiplié ses ressources grâce à l’accroissement des revenus provenant de l’exportation d’hydrocarbures.
- See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2014/04/le-paradoxe-economique-algerien/#sthash.hZtvfhDG.dpuf

vendredi 4 avril 2014

Le FIS peut-il revenir sur la scène politique ?

Rachid Grim est politologue. Lezzar Nesredine est avocat, enseignant universitaire, activiste et militant des droits de l’homme. Dans cet entretien croisé, ils s’expriment sur l’ex-FIS
Comment interprétez-vous les communications de l’ex-FIS dans une période aussi importante pour l’Algérie ?
Rachid Grim : Les communications sont une façon d’occuper le terrain, de faire de la présence. Pour Abassi Madani, c’est beaucoup plus rare de le voir intervenir. Il ne se manifeste que lorsqu’il s’agit d’une vraie occasion. Il profite des moments de rupture dans l’histoire de la vie politique algérienne. À chaque fois qu’il y a quelque chose, il se rappelle au souvenir des Algériens comme pour dire je suis toujours là.
Lezzar Nesredine : ça dépend si les deux ex-chefs du parti dissous se sont exprimés en leur nom personnel. Il faut rappeler que le jugement de condamnation prononcé à leur encontre a été assorti, me semble-t-il, de peines complémentaires et accessoires qui consistent notamment en une interdiction de toute activité politique.
Un des candidats à la présidentielle (Ali Benflis) s’est engagé à lancer un dialogue national regroupant tous les acteurs et les partis quelle que soit leur tendance. Qu’en pensez-vous ?
Lezzar Nesredine : Je ne sais pas si M. Ali Benflis inclut l’ex-FIS dans « tous les partis quelle que soit leur tendance », car théoriquement le FIS n’est plus un parti et appartient à l’histoire. Il faut se rappeler qu’il a été dissous en 1992, il y a plus de vingt ans. Je comprends mal l’opportunité de réveiller, même sous un autre nom, les anciennes formations et les haines enfouies. En battant le rappel des troupes d’un parti dissous, les candidats versent dans un révisionnisme excessif et inopportun. Nous sommes devant un écart de la logique des hommes d’État qui assument la continuité des décisions de l’État. Il faut se souvenir que le Front islamique du salut a été dissous par décision du tribunal d’Alger confirmée par le Conseil d’État. Cette décision est passée en autorité de chose jugée et ne peut en aucun cas être remise en cause. Les anciens partisans du Front islamique du salut n’ont aujourd’hui qu’une possibilité : refonder un autre parti et je pense que rien ne le leur interdit, à l’exception d’Abassi Madani et Ali Benhadj qui ont fait l’objet d’une interdiction d’activité politique.
Rachid Grim : Il a ouvert la boite de Pandore, cela est clair. Je ne sais pas s’il en est conscient. C’est peut-être pour attirer des voix mais je ne sais pas si elles sont vraiment si nombreuses que ça, s’ils représentent une force. Ali Benflis ratisse très large juste pour gagner des voix.
Pourrait-on s’attendre à un retour de l’ex-FIS sur la scène politique algérienne ?
Rachid Grim : Non, je ne pense pas, sincèrement. Quand on observe la scène internationale, l’intégrisme est en train de reculer, de plus en plus. Il faut remarquer que les partisans de l’ex-FIS reviennent avec des positions plus souples. Mais, en réalité, ce n’est ni dans leur nature ni dans leur intérêt. Leur nature c’est la violence.
Lezzar Nesredine : D’abord il n’y a pas eu de loi leur interdisant une activité politique, mais une décision judiciaire qu’il faut examiner avant de répondre. Soit cette interdiction d’exercice de toute activité politique est limitée dans le temps : ce qui veut dire qu’à l’expiration de cette période, les interdits politiques « sont réhabilités de plein droit ». Soit cette interdiction est illimitée dans le temps et à ce moment-là, il faudra une décision de grâce présidentielle pour lever cette interdiction. J’imagine mal une décision présidentielle abrogeant les interdictions d’une décision judiciaire. Ce serait une atteinte à la suprématie de la justice qui est un pilier cardinal de l’État de droit.

Source : TSA



jeudi 3 avril 2014

Dzaïr TV suspend une émission après un débat sur le clip de soutien à Bouteflika

L’émission « Système DZ » n’est plus diffusée sur la chaîne Dzaïr TV. La direction a décidé de suspendre le programme après la dernière émission suite au passage concernant le clip controversé de soutien au président Bouteflika. Dans le numéro du 30 mars, deux comédiens, Amine Ikhlef et Mohamed Bounoughaz, qui ont participé à la chanson à la gloire du Président sortant, avaient affirmé qu’ils allaient être payés par le producteur du clip.
Également chroniqueurs dans Système DZ, ils s’étaient engagés à donner leurs cachets à des associations caritatives. « Si j’avais su que le public allait réagir aussi négativement, je n’aurais pas fait le clip », avait déclaré un des deux comédiens.
Le surlendemain, l’émission est suspendue. Contacté, l’animateur Abdellah Benadouda n’a pas souhaité faire de commentaires. Le directeur de Dzaïr TV, Mohamed Hakem, explique : « La suspension temporaire de l’émission ‘Système DZ’ n’a absolument rien à avoir avec une quelconque pression ». « C’est une décision interne liée à la prestation des animateurs dans un numéro où on a constaté une petite tension entre les membres de l’équipe qui était jusque-là homogène », ajoute-t-il.
Mais des sources internes à la chaîne ont une explication différente. L’intervention des deux comédiens évoquant les cachets des artistes pour leur participation au clip de soutien à Bouteflika n’a pas été du goût du staff de campagne du Président. « Nous avons toujours travaillé librement même si le propriétaire soutient la candidature de Bouteflika. Mais le contexte est différent. Après l’affaire du clip, la direction a subi d’énormes pressions », soulignent nos sources. Dzaïr TV est la propriété de l’homme d’affaires Ali Haddad, qui soutient ouvertement la candidature de Bouteflika.
Mais « Système Dz » n’est pas la seule émission suspendue par la direction de la chaîne privée. « Controverse », l’émission politique de Dzaïr TV, a été déprogrammée. L’invité de l’émission était Djilali Sofiane, un homme politique opposé au 4e mandat.
Contacté, son animateur Khaled Drareni, n’a pas souhaité réagir. Mohamed Hakem affirme qu’il ne s’agit pas d’un acte de « censure ». « Djilali Sofiane est passé au moins cinq fois sur Dzaïr TV. C’est le cas aussi des autres opposants », dit-il avant d’ajouter : « Dans nos émissions, on a toujours veillé à un certain équilibre entre les intervenants, mais là, il y a eu un déséquilibre flagrant dans les débats. On a jugé en notre âme et conscience qu’on ne pouvait faire passer l’émission ainsi ».

Source: TSA

mercredi 2 avril 2014

IMPORTANT GROUPE ETATIQUE: recrute un RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION

RESPONSABLE DE LA COMMUNICATION

Important groupe étatique recrute :

Un Responsable de la Communication, Assistant/conseillé du PDG

Porfil :

Diplôme en commerce ou marketing 
Minimum 12 années dans le domaine de la communication.
Agé de moins de 45 ans.

Statut :

Cadre Supérieur
Salaire et avantages à négocier.

Veuillez envoyer votre CV + LM + Photo à :

email : sntc@emploinet.net

La pénurie de lait relance la vente forcée comme dans les années 1980

La pénurie de lait a laissé place à certaines pratiques « peu scrupuleuses » de la part de commerçants, a-t-on appris de Mustapha Zebdi, président de  l’Association algérienne pour la protection des consommateurs (Apoce).
Selon M. Zebdi, une dizaine de plaintes émanant de citoyens dénonçant la vente forcée ont été reçues  par l’Apoce. Il s’agit d’une forme de « chantage » exercée par les commerçants et héritée des années 1980. « Pour avoir deux sachets de lait, le client est obligé d’acheter en plus un sachet de lait caillé ou même du lait en boite qui peut coûter jusqu’à 100 DA », explique M. Zebdi.
Abdessamed, habitant la région de Lakhdaria, dans la wilaya de Bouira, nous  explique au téléphone, que toute la région  souffre de ce problème récurrent depuis des mois. « Les commerçants nous obligent à acheter du lait de vache qui coûte 50 DA le litre, pour nous vendre un sachet de lait de 25 DA », nous confie-t-il. Ahmed, fonctionnaire vivant à Tadmait dans la wilaya de Tizi-Ouzou, explique que les gens de la région souffrent de ce genre de pratiques depuis presque six mois. « Nous sommes obligés d’acheter du lait de vache ou du lait caillé contre un sachet de lait de 25 DA. C’est soit ça, soit rien », dit-il en colère.
Les commerçants accusent les industriels et les distributeurs
Selon M. Zebdi, différentes wilayas du pays, dont Blida et Alger, pâtissent de ce problème. Contacté, Tahar Boulenouar, président de l’Union générale des commerçants et des artisans algériens (UGCAA),  confirme ces pratiques mais défend les commerçants. Selon lui, les commerçants seraient également « des victimes ». « Ce sont les producteurs et les distributeurs qui font la loi », selon lui. Il explique que les producteurs obligent les distributeurs à acheter d’autres produits avec le lait en sachet de 25 DA.
« Pour acheter du lait en sachet, le distributeur est obligé de prendre d’autres produits laitiers difficiles à la vente », argumente-t-il. C’est ce que nous a, par ailleurs, confirmé Abdellah, un distributeur. « Pour 1 500 sachets de lait, le producteur nous impose entre 200 et 500 sachets de lait caillé ou une centaine de boites de lait pasteurisé », dit-il.
Le président de l’UGCAA lance, à cet effet, un appel aux autorités afin d’interdire aux producteurs et distributeurs ce genre de pratiques. « Le client, le commerçant, ou le citoyen ont le droit de choisir le produit qu’ils veulent, la quantité qu’ils veulent et la loi leur garantit ce droit », veut-il croire.

mardi 1 avril 2014

➳ A lire, à relire et à méditer ! ➳ Que ceci entre une bonne fois pour toutes dans le crâne des ânes !


"Cette jeune femme marche dans les rues de Paris.
Comme vous voyez, personne ne la regarde, personne ne la dévisage, personne ne regarde ses jambes avec insistance, personne ne l'insulte et personne ne l'agresse.
Sa société ne la juge pas, ne l'agresse pas, car c'est une société évoluée, qui s'est éloignée de ses instincts animaux et qui respecte les libertés privées.
Quand la femme est considérée comme un objet libidinal -quelque soit son habit- le problème n'est pas dans la femme, mais dans le degré d'évolution et de civilisation de sa société..."

➳ Et c'est un Homme qui a écrit ça !
➳ En résumé, pas besoin de se cacher sous un drap pour être respectée.
➳ Mais pour cela, il suffit juste de civiliser la société...
➳ MAIS SURTOUT LA GENTE MASCULINE !
➳ Elevez vos fils pour en faire des Hommes et non des animaux !

Les services de sécurité craignent pour la vie de Sellal

bdelmalek Sellal est-il en danger ? Le directeur de campagne d’Abdelaziz Bouteflika, et ex Premier Ministre, sera accompagné désormais dans les prochaines étapes de ses visites électorales à travers le pays par un dispositif sécuritaire impressionnant. Plusieurs sources sécuritaires ont indiqué à Algérie-Focus.com que des rapports établis par les Renseignements Généraux mettent en garde la direction de campagne de Bouteflika contre les grands risques d’attaques et d’agressions dont pourrait être victime Sellal.
Ce  dispositif sécuritaire est d’ores et déjà en vigueur puisque pour son déplacement lundi à Souk Ahras, à l’extrême est du pays, le représentant du candidat Abdelaziz Bouteflika a été protégé par un nombre important des éléments du Détachement Spécial d’Intervention (DSI) qui est une unité opérationnelle d’élite des forces spéciales en Algérie. D’habitude, cette unité d’intervention est réservée aux grandes et délicates missions de sécurité comme la  libération d’otages ou l’élimination d’éléments terroristes dangereux. Désormais, elle  a été mise à contribution dans la campagne électorale pour le 4e mandat.
- See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2014/04/les-services-de-securite-craignent-pour-la-vie-de-sellal/#sthash.25LpHbkx.dpuf

AMBASSADE RECRUTE ASSISTANT / ASSISTANTE

AMBASSADE  RECRUTE : 

UN(E)  ASSISTANT(E)

Tâches à effectuer : 

- Assistanat.
- Travaux de recherche, rédaction de rapports.
- Interprétariat et traduction Français/Anglais, Anglais/Français.
- Etc.…

 Profil recherché :

- Diplôme universitaire.
- Maîtrise parfaite des langues : Arabe, Français, et Anglais.

Début de travail : début du mois d'avril

Document à joindre : CV avec photo et lettre de motivation en anglais et en français.

Veuillez envoyer vos candidatures à l'adresse mail suivante :

embassy.alg@gmail.com