
Des dizaines de personnes ont été interpellées et embarquées dans des fourgons pour être orientées vers les commissariats de Cavignac (Alger centre), El harrach, Belfort, Draria ( Banlieu ouest ), Bab Ezzouaz ( Banlieue est) et Chéraga.
Parmi les interpellés se trouvent des journalistes auxquels on a détruit leur matériel, Salah Debbouz, président de la ligue des droits de l’homme, des étudiants, des militants politiques.
« Comme en 2011, nous redécouvrons Alger la blueue » se remèmore Chabane, un des manifestants à l’époque étudiant qui est aujourd’hui stagiare dans un cabibe d’avocats .
Une réunion improvisée en urgence a décidé de relancer le mouvement ont été abordés pêle mêle un appel à un boycott total des élections ou des actions comme des grèves générales...
Des appels similaires ont été lancés à Constantine, Bouira, Paris…
A l’heure où nous mettons en ligne, nous apprenons que certaines personnes ont été relâchées alors que d’autres sont entrain d’être entendues.
Nous y reviendrons.
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